| <div class="texte"><img src="http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gif" border="0"/><p> <object id="myExperience2221488759001" class="BrightcoveExperience"> <param name="bgcolor" value="#FFFFFF" /> <param name="width" value="493px" /> <param name="height" value="277px" /> <param name="playerID" value="694908207001" /> <param name="playerKey" value="AQ~~,AAAAjgltpmk~,3G6d8W41NOS8dBzRXeWHGdzbg-FWShEX" /> <param name="isVid" value="true" /> <param name="isUI" value="true" /> <param name="dynamicStreaming" value="true" /> <param name="@videoPlayer" value="2221488759001" /> </object> ? l'adolescence, le jeune se rêvait champion de jumping. Une sévère chute de cheval aura raison de cette ambition. Vingt ans plus tard, Canet se remet en selle pour le film <i>Jappeloup</i>. Un retour aux sources en forme d'hommage à sa passion de jeunesse.</p><p> <strong>LE FIGARO. - Qu'est-ce qui vous a poussé à entreprendre le tournage de ce film?</strong> </p><p><strong>Guillaume CANET</strong>. - Au départ, c'est le cascadeur équestre Mario Luraschi qui m'a parlé de ce projet,[http://www.saclongchamppascherenlignefr.fr/ longchamp]. Je l'ai refusé. Tout d'abord parce que j'avais tourné le dos à cette vie équestre et je n'avais plus envie de monter à cheval. Luraschi a insisté. Il m'a demandé de rencontrer au moins le producteur du film, Pascal Judelewicz, un passionné qui rêvait de faire ce film depuis 1995. J'ai été emporté par son enthousiasme. Sur Internet, j'ai visionné des vidéos de <i>Jappeloup</i>. Cela m'a remis en mémoire certains moments de ma vie. J'ai surtout lu le livre de Karine Devilder et Pierre Durand. Et là, j'ai vu l'histoire géniale qu'on pourrait en tirer. Un film pas uniquement centré sur des chevaux,[http://www.jeansdieselpaschermagasinfr.com/ jeans diesel], mais une grande histoire d'amour,[http://www.jordanboutiquepaschersolde.fr/ jordan pas cher], une ode aux parents, à la relation au père. Surtout, au cœur du film, je voyais se dessiner un thème qui m'est cher: se battre pour ses rêves. Jappeloup,[http://www.jeansdieselpaschermagasinfr.com/ diesel], c'est cela: croire en ses rêves, se relever même après les coups, même après les chutes.</p><p> <strong>Comment s'approcher au plus près du couple Durand-Jappeloup?</strong> </p><p>Au départ, il faut faire comprendre aux spectateurs que le personnage de Pierre Durand est plut?t antipathique, froid, n'ayant pas beaucoup d'affect. Progressivement, il va s'approcher, se rap?procher de ce cheval. La rencontre a été ratée au début entre Pierre Durand et Jappeloup. Durand n'était pas très intéressé par ce petit modèle. Il l'a essayé une première fois, a demandé à le revoir une année plus tard. Il n'était pas très emballé en fait. Et puis, à un moment, ils se sont trouvés. C'est devenu un couple mythique. </p><p> <strong>Comment avez-vous réussi à recréer la magie de ce cheval hors du commun?</strong> </p><p>Pour incarner Jappeloup, nous avons utilisé plusieurs chevaux. Il fallait d'abord que nous soyons capables de retracer son itinéraire, du petit cheval chétif, pas du tout musclé, à la monture très athlétique de haut niveau. Nous avons ensuite principalement tourné avec deux chevaux d'obstacles,[http://www.jordanboutiquepaschersolde.fr/ air jordan pas cher]. L'un trouvé par Pierre Durand, Sympatico, ressemblait beaucoup à Jappeloup. Dans tous les gros plans, on l'a utilisé au maximum. Mais comme il avait 22 ans, on l'a tout de même ménagé! L'autre, Incello, est celui dont je me suis servi pour sauter les très grosses barres.</p><p> <strong>Le jockey Pierre Durand existe vraiment. Le film raconte son histoire. <br/>Comment cela s'est passé avec lui?</strong> </p><p>,[http://www.tnrequinpascherfrsoldes.fr/ air max pas cher]?a s'est très bien passé par moments. Il y a également eu des moments de conflits parce que Pierre souhaitait qu'on approfondisse certains thèmes, comme sa bagarre avec Marcel Rozier. J'ai voulu freiner sur cet aspect des choses. Je trouvais que c'était déjà assez présent dans le scénario. Et cette querelle leur appartient,[http://www.saclongchamppascherenlignefr.fr/ sac longchamp pas cher]. Mais je sais que Pierre a beaucoup aimé le film, même s'il a du mal à se retrouver dans le personnage!</p><p> <strong>Vous, en tant que cavalier, vous avez d? vous y remettre. Cela a-t-il été douloureux?</strong> </p><p>Non. ?a a été un plaisir. Bien s?r ?a a été fatigant par moments. Je me suis préparé pendant six semaines. Ce n'était pas beaucoup. Je n'étais pas remonté à cheval depuis vingt ans! Ce qui a été le plus fatigant, ce sont les deux semaines sur le plateau de tournage, où j'ai d,[http://www.jordanboutiquepaschersolde.fr/ air jordan]? chevaucher jusqu'à huit ou dix heures par jour.</p><p> <strong>Au fond, n'avez-vous pas mis beaucoup de vous dans ce film?</strong> </p><p>Oui,[http://www.paschertnrequinfrenligne.fr/ tn requin pas cher], j'ai mis beaucoup de moi dans le scénario. Il existe de grandes similitudes entre la vie de Pierre Durand et la mienne. Forcément, j'ai eu envie de parler de mes parents, de la manière dont ils m'ont soutenu. Nous avons eu, Pierre et moi, le même accident au même ,[http://www.saclongchamppascherenlignefr.fr/ longchamp pas cher]?ge, qui a été un déclic vers une envie de faire autre chose. On a tous le choix de faire ce que l'on veut de notre vie. Pierre Durand avait la vie belle en tant qu'avocat à Bordeaux. Mais monter à cheval lui manquait trop. C'est pour cela qu'il a décidé de reprendre la compétition. Cela, moi aussi je l'ai ressenti, parce que j'ai vécu ce genre de choses… C'est de ?a aussi que parle le film.</p><p><strong>LIRE AUSSI </strong>:</p><p> </p><p> </p> </div>
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