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OACI : Rapport accablant
Photo: La Presse Canadienne /Ryan Remiorz, Logo de l'OACI
L'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) est à nouveau dans l'embarras,
après les révélations faites par Radio-Canada en avril dernier. Un rapport d'enquête
révèle des pratiques douteuses dans cette organisation, dont le siège social se trouve
à Montréal.
Une vérification externe effectuée par la Cour des comptes française, à la demande
de certains pays membres, fait ressortir une dégradation de la situation financière et
une mauvaise gestion de l'OACI. La manière dont est dépensé l'argent et le nombre
d'employés restent nébuleux, selon la vérification.
Le Bureau de coopération technique est particulièrement égratigné par ce rapport
d'enquête. Ce département qui aide les pays en développement à améliorer la sécurité
de leur aviation est blâmé notamment pour ses charges fixes jugées trop importantes,
au moment où il accuse un déficit. D'après la vérification, le Bureau de coopération
technique n'a pas été en mesure de communiquer sa situation opérationnelle, financière
et budgétaire à la Cour des comptes.
Radio-Canada révélait déjà au printemps dernier que certains cadres de cette organisation
de l'ONU étaient soupçonnés de dépenser et d'embaucher inutilement.
Photo: La Presse Canadienne /Ryan Remiorz, Logo de l'OACI
L'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) est à nouveau dans l'embarras,
après les révélations faites par Radio-Canada en avril dernier. Un rapport d'enquête
révèle des pratiques douteuses dans cette organisation, dont le siège social se trouve
à Montréal.
Une vérification externe effectuée par la Cour des comptes française, à la demande
de certains pays membres, fait ressortir une dégradation de la situation financière et
une mauvaise gestion de l'OACI. La manière dont est dépensé l'argent et le nombre
d'employés restent nébuleux, selon la vérification.
Le Bureau de coopération technique est particulièrement égratigné par ce rapport
d'enquête. Ce département qui aide les pays en développement à améliorer la sécurité
de leur aviation est blâmé notamment pour ses charges fixes jugées trop importantes,
au moment où il accuse un déficit. D'après la vérification, le Bureau de coopération
technique n'a pas été en mesure de communiquer sa situation opérationnelle, financière
et budgétaire à la Cour des comptes.
Radio-Canada révélait déjà au printemps dernier que certains cadres de cette organisation
de l'ONU étaient soupçonnés de dépenser et d'embaucher inutilement.
